Comment nos challenges de vie nous permettent de mieux nous connaître ?
Dernière mise à jour de l'article le 3 janvier 2025
Bienvenue sur ce blog conçu pour vous aider à reprendre votre vie en main et redevenir l’architecte de votre vie !
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Dans la vie de tous les jours, nous sommes confrontés à des diverses difficultés externes. Ces difficultés peuvent venir de plusieurs domaines de notre vie – que ce soit familial, professionnel, spirituel ou de la Société dans laquelle nous vivons. Et ces difficultés affectent, de manière certaine, notre Être, notre manière de penser et notre manière de voir les choses.
Notre environnement peut donc avoir des effets sur nos états d’âme, nos sentiments et plus encore sur nos projets de vie.
Mais ces épreuves de vie peuvent également être perçues comme des stimulants qui éveillent en nous une nouvelle attitude, une nouvelle vision du Monde.
Ah bon !?
Eh oui ! Et c’est ce que je vous explique dans cet article.
Nos challenges influencent une partie de notre vie
Lorsqu’une difficulté, un problème surgit de manière répétitive dans notre vie, cela nous touche. Cette difficulté peut se matérialiser par un manque récurrent de quelque chose, un besoin qui nous presse.
Ne vous est-il pas déjà arrivé de vous dire :
« J’en ai marre de cette situation ! Faut que ça change ! »
« Pourquoi toujours moi ! Je suis maudit(e) ? Pourquoi ça n’arrive qu’à moi ? »
C’est à travers ce genre de phrase que le manque se matérialise. C’est ce manque qui va créer une énergie en vous et qui va vous pousser à affronter cet obstacle.
Ces difficultés varient selon l’expérience de tout à chacun. Elle peut venir de notre environnement externe ; par exemple, ça peut être une injustice, une discrimination, un manque d’honnêteté, de l’hypocrisie. Ou encore un sujet qui vous touche particulièrement, comme la pauvreté, la violence…
Ou elles peuvent venir de l’interne, comme un manque de connaissances, la paresse, l’addiction à quelque chose (que ce soit une substance, les réseaux sociaux ou encore un jeu …).
Sachez que vous n’êtes pas le premier ou la première à devoir faire face à ces difficultés. On pourrait même penser que « c’est normal » de vivre ce genre de situation. Ce sont des obstacles qui surviennent dans notre vie, des étapes à franchir pour nous construire, nous retrouver, pour mieux nous connaître.
Par exemple, plusieurs grands personnages qui ont marqué l’histoire de l’humanité, notamment Martin Luther King ou encore Albert Einstein, ont également dû faire face à des difficultés dans leur vie, des manques ressentis à un moment de leur vie. Pour Martin Luther King, il s’agissait d’un sentiment de manque de justice et pour Albert Einstein, c’était un sentiment de manque de connaissances.
Toutefois, comme le disait Jack Sparrow : « Le problème n’est pas le problème. Le problème est votre attitude envers le problème ».
Ce problème, qui surgit devant vous, est une situation, un évènement externe que vous devez gérer, surmonter. Le vrai sujet, c’est comment vous allez réagir face à cette situation que vous ne pouvez pas forcément contrôler.
Nous passons tou(te)s par des difficultés dans notre vie et ce qui fera la différence — être actif(ve) ou réactif(ve) — face à cette difficulté, c’est notre volonté de changer les choses.
De ce fait, quand nous subissons un évènement avec un impact négatif sur notre vie, cet évènement peut refléter un manque qui impactera une valeur importante pour nous. C’est comme quelque chose que l’on souhaite avoir, mais qui à première vue est impossible à obtenir. Cependant, c’est tellement crucial pour nous que nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour changer la situation et au final, nous allons l’inscrire comme une valeur dans notre vie.
Le manque à combler deviendra l’objectif temporel de notre existence, consciemment ou inconsciemment.
Par exemple, si une personne n’a pas suffisamment d’argent pour vivre et considère cela comme un vrai frein pour son épanouissement personnel, ce manque crucial d’argent dans sa vie se matérialisera comme une valeur importante pour lui/elle. L’argent, sera un de ses buts à atteindre dans sa vie (sous toute forme possible).
Quels sont les comportements que nous adoptons face au problème ?
Face à ce manque que l’on considère comme crucial pour nous, nous pouvons avoir plusieurs attitudes influencées par nos sentiments.
Les premières attitudes sont celles liées à la peur qui peut s’observer de plusieurs manières.
Nous sommes figés, nous ne savons pas quoi faire face à ces évènements répétitifs. Nous ne savons pas comment agir, comment gérer le problème « Que faire ? » « Pourquoi moi ? ». Et à force d’être confronté à ce problème, pour nous protéger, inconsciemment, notre cerveau peut commencer à l’intégrer comme étant « la norme».
Et comme la peur nous fige, nous empêche d’agir, nous intériorisons toutes ces émotions. Et cette peur peut gangrener notre propre Être. Au lieu que le manque fasse naître en nous des valeurs, nous cultivons en nous des contre-valeurs, et ce tout en étant motivés par la peur : peur d’affronter le problème, peur de faire changer les choses, manque de confiance en soi.
D’un autre côté, cette peur peut, au contraire, nous donner des ails pour agir et nous donner l’énergie de faire bouger les lignes, pour obtenir un mieux être. Dans ce cas, cette peur sera motrice et influencera nos valeurs. Nous intégrerons inconsciemment ce manque comme un objectif à atteindre pour nous libérer de cette peur. Ce phénomène n’est pas anodin, car ne dit-on pas parfois que la peur peut nous « donner des ailes ! ».
Ensuite, nous pouvons avoir des attitudes liées à la colère que nous ressentons face à ce manque.
Il peut arriver en effet que l’excès de ce manque crée tout d’abord en nous une rage inexprimable, une colère “Pourquoi moi ?” Mais, quand la situation dure sur plusieurs mois, voire plusieurs années, on y est tellement confronté que finalement, on finit par s’y accommoder, s’y habituer. Eh oui ! Nous avons appris à vivre avec ce manque et, tout comme le sentiment de peur, inconsciemment, pour nous protéger, notre cerveau a intégré ce manque. Certes, nous continuons à nous plaindre, mais nous n’agissons pas pour autant. En fait, il s’agit là d’une sorte de fuite en avant, d’un rejet de responsabilité.
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